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Le marché des bureaux ne connaît pas trop la crise

Dans un article du journal 24 heures, Sophie Carliez, Head of Suisse Romande chez JLL, donne des informations sur les derniers développements du marché de bureau à Genève et Lausanne.

février 16, 2022

Le télétravail n’a pas diminué le besoin en surfaces des entreprises. Les emplacements en centre-ville sont toujours très recherchés.

Le marché des bureaux a passé le cap de la pandémie et du home office, qui a tenu de nombreux collaborateurs et collaboratrices éloignés de leur lieu de travail. L’an passé, le volume des investissements dans l’immobilier de bureau est resté stable et les objets qui se situent au centre des grandes villes suisses ont toujours été très recherchés. Une tendance qui devrait se poursuivre.

Si la situation dans les centres des villes suisses est tendue, à des degrés divers, la situation est moins favorable pour les immeubles de bureaux se trouvant en zones périphériques, où le taux de vacance est beaucoup plus élevé. L’aversion au risque incite les investisseurs à se concentrer sur les objets les mieux placés.

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Les grandes entreprises, nationales et internationales, portent un regard perçant sur la qualité de la construction dans laquelle elles vont louer des surfaces de bureaux. Aujourd’hui, si un immeuble ne répond pas à des critères écologiques, nos clients ne le prennent même pas en considération.

«Il s’agit toujours d’un équilibre entre l’offre et la demande. Plus la demande en surfaces répondant à des critères écologiques est forte, plus le prix de location est élevé. C’est en partie dû au renchérissement du prix de construction, avec des coûts complémentaires que le propriétaire doit répercuter sur les loyers.»

Sophie Carliez, Head of Suisse Romande

Cela dit, Sophie Carliez reconnaît que la qualité «verte» de la construction d’un édifice est plus importante en périphérie, où le taux de vacance des surfaces de bureaux est plus élevé. «Dans le centre des villes, où le marché est très tendu, il est difficile de trouver des immeubles labellisés.» Une situation aussi due à la réalité, c’est-à-dire à l’ancienneté de nombreux bâtiments.

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